La nostalgie nous entraîne en pèlerinage vers les endroits de la première fois à Vancouver au risque d’atténuer les souvenirs magiques restés en mémoire : l’abondance et l’ambiance colorée du marché de Granville Island, le trajet amusant en bateau de Petzi, la promenade tranquille le long des quais. Si la répétition émousse un peu nos émotions, le charme opère toujours.

Nous découvrons avec bonheur que le nom d’Emily Carr s’inscrit sur le fronton de l’université d’art et de design dont les bâtiments de bric et de broc semblent célébrer l’extravagance de cette artiste qui vécut longtemps en roulotte entourée de ses chiens.

Oui, nous reviendrons à Vancouver, mêlant suave nostalgie et surprenants plaisirs.

 

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